Au Maroc, la « vallée des roses » rêve d’un label bio

Le Monde Aafrique Izza Aït Ammi Mouh, comme les cueilleuses de son équipe, gagne 3 dirhams (environ 0,28 euro) pour chaque kilo de roses ramassées à la main, avant la distillation en eau florale ou en huile essentielle, précieux extrait vendu au Maroc jusqu’à 15 000 euros le kilo. « On gagne juste de quoi vivre », souffle-t-elle, mains gantées contre les épines, tête […]