Le G20 devrait s’accorder, vendredi 13 novembre, sur un cadre commun permettant une restructuration de la dette des pays pauvres et plaçant sur un pied d’égalité les créanciers publics, y compris la Chine, et privés, a-t-on appris jeudi auprès du ministère français des finances. Après avoir adopté en avril un moratoire sur le paiement du service de la dette de six mois – prolongé en octobre jusqu’en juin 2021 –, le G20 a décidé d’aller plus loin en acceptant d’étudier, « au cas par cas », des demandes « de rééchelonnement, de réduction », voire d’« annulation de dette ».