Près d’un tas de fruits de palmier attendant d’être écrasés, Micah Ojo, un fermier nigérian, aimerait tirer profit de la volonté du gouvernement du Nigeria de redonner vie à son industrie de l’huile de palme, autrefois florissante.
Empêtré, depuis la chute des cours de l’or noir en 2016, dans une crise économique qu’a encore aggravé la pandémie de coronavirus, le pays le plus peuplé d’Afrique doit diversifier son économie et créer des emplois pour ses plus de 200 millions d’habitants.